Levéltári Közlemények, 43. (1972)

Levéltári Közlemények, 43. (1972) 1. - Bertényi Iván: Az országbírói intézmény pecséthasználata a XIV. században / 113–143. o.

Az országbírói intézmény pecséthasználata a XIV. században 143 d'amendes du Grand-Justicier apposèrent leur propre sceau aux reçus. Parfois, comme expédient, le sceau d'autres dignitaires de la Cour fut utilisé pour vidimer les piartes du Grand-Justicier. La matière utilisée pour les sceaux du Grand-Justicier était de la cire, le grand sceau était toujours couleur nature, les sceaux apposés par l'anneaú sigillaire étaient aussi de couleur nature dans la plupart, parfois noirs ou verts. L' exergue des grands sceaux et ceux des scaeux mineurs se composaient du nom et de la qualité du Grand-Justicier, les anneaux sigillaires étaient souvent sans légende. Les sceaux représentent le plus souvent l'insigne du Grand-Justicier dans un écusson, au temps de Nicolas Szécsi III Grand-Justicier (1381—1383) le sceau mineur du Grand-Justicier était orné d'un écusson, le grand sceau en était dépourvu. Les écussons des Grands-Justiciers étai­ent très variés, on y retrouve des meubles des plus variés, les pièces honorables y sont plus rares. Outre l'authentification des chartes, les sceaux furent employés pour assurer l'inviolabilité des récipients servant à y enfermer des pièces variées. L'examen des sceaux formait partie organique de la critique des chartes contemporaines : au décèlement d'une charte fausse, la description comporte la constatation de la singularité du sceau. Comme les usages des sceaux des époques antérieures ne furent plus connus au milieu du XIV e siècle, il arriva que la critique des scaeux fut erronément ap­pliquée: une charte établie par le palatin en 1234 fut déclarée fausse par le Grand-Justicier, parce qu' elle portait un double sceau — alors que le palatin Dénes, l'auteur de la charte, avait utilisé un double sceau. Alors que les sceaux divers des chartes établies au nom du roi sont pour des unités organique­ment bien distinctes de la chancellerie royale, l'organe du Grand-Justicier du XIV e siècle ne peut être différencié selon les sceaux apposés. Aussi bien le grand sceau que le sceau mineur du Grand­Justicier furent conservés (dès la seconde moitié du siècle on peut le prouver) par le protonotaira. L'auteur publie à la fin de son étude, dans une annexe Farchontologie et la liste des sceaux des Grands-Justiciers entre 1304 et 1395.

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