Levéltári Közlemények, 35. (1964)

Levéltári Közlemények, 35. (1964) 2. - Szedő Antal: Rendezési módszerek modern (1800 utáni) levéltári anyagban / 145–160. o.

Rendezési módszerek modern (1800 utáni) levéltári anyagban 159 и группированные в десятичной системе материалы сохраняются в их первоначальной классификации. Наиболее часто применяемым современным архивным справочником является путе­водитель (guide). Это справочник на уровне фондов или составных частей фондов и обычно дает сведения о всех фондах архива или же о всех фондах наиболее важной группы фон­дов. Справочник как правило предоставляет хорошие сведения. Более подробные сведе­ния о фондах содержатся и в настоящее время в инвентарях и реперториях (понятие этих двух справочников в архивной практике обычно сливается). В последних фонды излагаются в качестве единиц хранения и являются аналитическими справочниками. В последние времена составляются и списки фондов по всей стране — в отдельных наци­ональных архивах или архивных управлениях создается центральная регистрация. Новые виды архивных материалов — звукозаписи и фотоматериалы, фильмы, магни­тофонные ленты и ленты телерекординга еще в небольшой мере внедрены в архивных складах, за исключением Советского Союза и Соединенных Штатов Америки. Из таких материалов архивы главным образом хранят фотографии, а что касается остальных, во многих странах однако, нет твердой уверенности даже в компетентности архивов по их хранению. LES SYSTÈMES MODERNES DE CLASSEMENT DES DOCUMENTS D'ARCHIVES POSTÉRIEURS A 1800 Antal Szedő Ce rapport, établi pour le V e Congrès International des Archives organisé à Bruxelles, examine d'abord les principes modernes de groupement, de classement des documents dans les archives formées après 1800. L'auteur examine en premier lieu le classement de ces matériaux dans les archives courantes. Certaines sortes de documents sont groupées, jusqu'à l'heure actuelle, dans l'ordre alphabétique des noms de personnes. Il s'agit surtout des actes produits par la Chambre des Tutelles, et bien souvent aussi d'actes provenant des tribunaux et de la police. Les documents des usines et entreprises sont rangés sur les rayons dans l'ordre alphabétique des correspondants (personnes ou firmes), et il en va de même de la correspondance que les ministères des affaires étrangères entretiennent avec les consuls et les ambassadeurs. Mais le plus souvent, les documents conservés dans les archives courantes sont déjà classés par matières, une importance plus grande étant alors attribuée à la destination du document (les matières peuvent être très diverses, tandis que la destination varie rarement). Quant à l'ordre chronologique, celui-ci n'est plus respecté qu'à l'intérieur de ces groupes classés par destination et matières, ou chez certaines sortes de documents (procès-verbaux, etc. ...). Dans le classement des groupes selon les matières, on fait toujours plus souvent appel au système décimal, dont l'application tenant largement compte de la fonction des documents et de la structure de l'organe qui les produit, est tout autre ici que dans les bibliothèques. Au lieu de faire entrer de force les documents dans le lit de Procruste, d'un classement par matières conçu à l'avance, on les classe selon leurs matières et leur destination réelles. De cette façon, il n'y a généralement pas 10 sections principales, mais celles qui existent se divisent déjà en 10 groupes, et ceux-ci en 10 sousgroupes. Les principaux instruments de travail sont restés le journal d'entrée et l'index. Dans, les systèmes modernes admettant une division par matières, comme dans les systèmes décimaux, l'usage de l'index peut être abandonné, mais celui du journal d'entrée est généralement conservé en Europe. Dans le système »filing« américain, ce dernier a été abandonné à son tour. Dans les archives, les limites des fonds sont ordinairement respectés, et on ne mélange pas les documents des divers fonds. On témoigne d'autant moins de respect pour la »Regis­tratur«, c'est à dire au système adopté dans les archives courtantes, qui n'est conservé que s'il est satisfaisant, les documents étant reclassés, autant que possible, dans le cas contraire. Lors du reclassement, on tient largement compte de la structure de l'organe créateur des documents, qui sont classés selon leur destination (et plus rarement seulement suivant leur matière). Dans les archives, les documents classés selon d'autres systèmes ne sont point re­classés selon le système décimal, mai s'ils y arrivent déjà groupés selon ce dernier, on conserve leur division originale. L'instrument de référence le plus couramment utilisé dans les archives est le guide, qui embrasse un fond ou une série, mais qui renseigne généralement sur tous les fonds d'un dépôt d'archives ou du moins d'un groupe de fonds important. Il permet donc une excellente: /

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