Fogorvosi szemle, 1937 (30. évfolyam, 1-12. szám)
1937-11-01 / 11. szám
524 et il у a, pas bien longtemps, nous eúmes le grand plaisir de le voir assister ä une de nos séances et de Гу entendre diseuter de quelle science síire, les questions scientifiques ä l‘ordre du jour. II у a deux ans ä peine, lors du tricentenaire de l’Université de Budapest, je le retrouyai acceuillant comme toujours, de cet acceuil simple et cordial, célúi de 1‘amitié, et je le retrouvi plus enthousiaste aussi; il avait en effet obtenu que fut agrandi et renouvelé son eher institut de Stomatologie et au milieu du bruit et des travaux, paisiblement il continuait son labeur de recherches. J’étais loin de me douter alors de sa fin si prochaine. La Stomatologie dönt il a bien mérité, perd en lui un de ses savants et meilleurs défenseurs. Puissent sa veuve, son fils, stomatologiste comme lui, ses collegues de Г Institut, trouver ici Г expression émue de nos sympathiques condoléances. * Prof. A. HERPIN (Paris): Szabó était encore Г éleve et le disciple d‘Árkövy et ce fűt dans Vatlimosphere de cordialité, que savait si Ыеп créer autour de lui ce maitre incomparable., que nous nous renconträmes il у а Ыеп longtemps., hélas! Dés les premiers mots échangés, s’établirent entre nous les sentiments de confiance et de Sympathie qui firent que bientöt nous fümes liés d’une sincere et solide amitié. J’ai toujours eu V impression et mérne la certitude que nous devions penser les mémes choses: lorsqu‘ il les exprimait dans une langue, qui m‘était étrang ere, il me paraissait impossible que ce ne fut pás ce que j‘aurais dit moi — mérne ä sa place, si bien que souvent il m‘arrivait de saisir exadement ce qu’il avait dit lui-méme. Passioné pour la Stomatologie, dönt il dirigea un temps les destinées comme President de l’Association Stomatologique Internationale, il contribua tant par ses travaux scientifiques et son enseignement, que par son action professionnelle á élever cette spécialité sur le тёте plan que les autres branches de la Medicine; son nom demeurera parmi ceux de ses plus illustres pionniers, ä coté de son maitre Árkövy et des Magitőt, Cruet... Puis il était un veritable ami pour nous: je me souviens des demarches qu‘il vint faire auprés de la Faculté de Medicine de Paris pour essayer d’établir la liaison qu’il désirait tant entre la Mede cine Hongroise et la Médecine Frangaise.