Gergely András: Az Eötvös Loránd Tudományegyetem Filózófiai Tanszékének története 1867-1918 - Fejezetek az Eötvös Loránd Tudományegyetem történetéből 3. (Budapest, 1976)
L'histoire de la Chaire de Philosophie de l'Université Loránd Eötvös, 1867–1918
- 46 A partir des années 1830, teat ébudismt gal souhaite obtenir on diploma de professaur doit passer obligatoirement un exarnen de fin d'etudes en ph.ilosoph.ie. Far suite du nombre croissant des étudiants, l’enseignement et les examens de- venaient une charge de plus en plus lourde pour la chaire, et il fallut bientöt en fonder une deuxieme. Le successeur de Qyrill Horváth, Imre Bauer, était également piariste, mais l’université eut bientot son premier professeur de philosophie laic en la personne de Frigyes Medveczky. dönt l’activité scientifique était notoire, et dönt les écrits, publiés en langue allemande sous le nom de Friedrich von Barenbach /qui est le caique de son nom hongrois/ étaient connus a l’étranger également, A la fin du siecle fut créée, aupres des deuz chaires de philosophie, une autre d,histoire de la philosophie, a laquelle fut nőmmé directeur le professeur Bernét Alexander, Ces trois professeurs ont enseigné plusieurs générations. Medveczky et Alexander eurent une activité scientifique app- réciable, mais leur philosophie était caractérisée par un mélange d* éclectisme, de positivisme et de néo-hantisme, et il ne se forme pas d'école nouvelle, ni de disciples. Les chaires de philosophie parvinrent a combler, en gros, pour le début du 20® siecle, le retard dönt nous avons fait mention aussi bien dans l’enseignement que dans la propagation de la culture philosophique. Héanmoina les possiblli- tés du progres n’étaient pás assuróes, car la Faculté des lettres refusa systématiquement les demandes aux postes de
