Társadalomtudomány, 1930 (10. évfolyam, 1-6. szám)

1930 / 1-3. szám - Ballai Károly: A magyar gyermek. A Magyar Gyermektanulmányi Társaság kiadása, 1929, 58 l.

Compte rendű 239 de l'organisation, c'est la concentration des fins et des fonctions. II ne pourrait donc étre question de l'organisation générale de la société que si l'ensemble des buts sociaux était réductible á un seul. Resté á savoir: si la société peut étre transformée de polytélique en monoté­lique, artificiellement. L'idéal de l'organisation universelle ne signifierait rien de plus que l'idée de la possibilité d'existence, de la possibilité de réalisa­tion d'une société monotélisée sous tous les rapports. 2. Si cetté solution n'est pas possible et que la société ne peut pas n'étre qu'une mosaique de „groupements de spécialité," c'est qu'il y a des „groupements polytéliques" faisant exception au prin­cipe d'organisation. Ainsi surgit la question des limites du principe d'organisation. Dés l'apparition de ce probléme: 1. l'hypothése d'une pénétration générale' de la société par le principe d'organisation perd sa validité. La limitation du principe signifie en mérne temps Vinadmissibilité du „panorganisationisme", donc: 2. l'action de la fonction organisatrice n'est plus illimitée dans le groupement orga­nisé. L'organisation produit des groupements sociaux artificiels et l'ex­périence de la pratique découvre ce que ce factice a de désavanta­geux. II y a une limité déterminée á la productivité de l'organisation. Un probléme nouveau se présente aprés l'élimination du „pan­organisationisme", celui des extrémes limites admissibles de la fonction organisatrice. Un optimum d'organisation marque ici le point critique, au delá duquel „la surorganisation" se présente avec toutes ses conséquences néfastes. Ainsi p. ex.: le contrőle social devient malaisé, certains conflits deviennent inévitables, le fonctionnement de l'organisation se laisse moins bien embrasser d'un coup d'oeil, la ré­vision des fonctions sera plus difficile et le fonctionnement de l'orga­nisation manquera d'homogénéité, quel qu'en fűt la gestion. L'absolue de la fonction organisatrice est nuisible sous plus d'un rapport. a. ) La société moderné n'a pas produit des groupements orga­nisés en nombre superflu, mais en a inutilement surdimensionné la plupart. L'idée qu'il y avait une limité, une dimension normálé á toute organisatíon, — idée souvent manifestéé de Platón jusqu'á Rous­seau, — est tombée dans l'oubli. b. ) Le groupement organisé moderné ne s'attache l'individu que partiellement. Incapable de développer harmonieusement les différen­tes activités, il ne sait ni s'incorporer la vie entiére de l'individu, ni pourvoir á tous ses besoins. c. ) L'organisation moderné est une exploitation productrice á fina­lité technique prédominante. Les aspirations morales restent donc en partié insatisfaites. d. ) La fonction organisatrice présuppose comme résultat le grou-

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