ARHIVSKI VJESNIK 14. (ZAGREB, 1971.)

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S. Durić — T. Popović, Lični fondovi (Arhivski almanah 4, Beograd 1962, str. 206—214). S. Durić, Pojam ličnog fonda i zbirke i formiranje zbirke »Varia« (Arhivski pregled br. 1, Beograd 1969, str. 63—69). R. Filangeri, Gli archivi privati (Rassegna degli archivi di Stato, Roma 1956, 3, str. 327—342) E. Lodolini Sulla definizione di archivo privato (Rassegna degli archivi di Stato, Roma 1966, 3, str. 341—342). H. O. Meissner, Privatarchivalien und Privatarchive (Archivalische Zeit­schrift, 55. Band, München 1959, str. 118 i dalje). K. Nemeth, Arhivska pomagala (Arhivski vjesnik XI —XII, Zagreb 1968—1969, str. 325—353). R. Petković-Popović, Neki tehnički problemi pri sređivanju i obradi ličnih i porodičnih arhiva (Arhivist, Beograd 1960/1, str. 28 i dalje). A. Saladino, Gli archivi privati (Rassegna degli archivi di Stato, Roma 1955/3, str. 280—299). Th. R. Schellenberg, Moderni arhivi, principi i tehnika rada (prijevod u izda­nju Saveza društava arhivista Jugoslavije, Beograd, 1962). Troisième seance de travaille — Les archives privées (Archivum 1956, vol. VI, str. 43—63). H. Watelet, Note sur le classement des archives d'entreprises familiales. (Archives et Bibliothèques de Belgiques, 1964, T. XXXV — No 2, Bruxelles). Osim navedenih djela koristili smo se i predavanjima A. Miro ta i R-H. Bautiera održanim na Stage technique u Parizu 1970. Résumé LES ARCHIVES DE FAMILLE — CLASSEMENT ET ÉLABORATION SCIENTIFIQUE Les archives de famille sont des fonds au vrai sens de la parole, le ré­sultat des activités régulières d'une famille qui a eu une place bien déterminée et joué un rôle défini dans la société de son époque, à condition, cependant, qu'elles aient qualité et quantité des documents telles de pouvoir renseigner sur la vie privée et publique de cette famille. Déjà par leur provenience, leur sujet et le mode de classement, de telles archives sont un problème particulier pour les archivistes du monde entier; dans cet article nous ne traiterons que leur classement et les instruments de travail. De tels fonds comprennent le plus souvent des papiers complètement mé­langés, en désorde, soit qu'ils sont encore dans les mains des personnes privées ou bien déjà remis à une institution. D'ordinaire ces fonds se composent de documents de la famille dans le sens plus étroit de la parole, ensuite des do­cuments résultant de l'activité de la famille même et celle de certains de ses membres. S'il s'agit d'une famille de notables on trouve presque tojours des documents des archives de diverses institutions dans le cadre desquelles les 286

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