Nagy István - Nagy Lajos - Wellmann Imre: Budapesti 1. sz. Állami Levéltár 1. Buda sz. kir. főváros. Pest sz. kir. város Óbuda mezőváros levéltárai - Levéltári Alapleltárak (Kézirat. Budapest, 1959)

IDEGENNYELVÜ TARTALMI KIVONATOK

. RESUME Le present volume de la serie des "Inventaires de base" des archives de Hongrie renferme les inventaires de base de trois archives conservées - parmi d'autres -, aux Archives d'État N° 1 de Budapest /anciennement Archives de la capitale/, notarament les inventaires des archives de la ville royale libre de Buda, des archives de la ville royale libre de Pest et des archives de la bourgade d' Óbuda, II cons titué•„ le premier ex­pose d'ensemble des matáriaux d'archives municipaux confiés a la garde des Archives d'État N 1 de Budapest et antérieurs a 1873. Nous considárons cat expose - comme le titre 1'indique ­une base sur laquelle on s'appuyera au cours des travaux d'ana­lyse des archives décrites mais nous espérons qu'il sera utile aussi aux chercheurs qui s 'intéressent á nos archives, I. - LES ARCHIVES DE LA VILLE ROYALE LIBRE DE BUDA Des le Moyen Age, Buda était du nombre des villes royales libres bénéficiant dee prérogatifs particuliers . Apres la cessa­tion de la domination Ottomans de 145 ans, eile fut, pour quel­ques années, sous lä^tutelle de l'administration de la Chambre royale de Buda mais réussit, grace á ses efforts perseveres, de reconquérir son Statut juridique antérieur. Le "Diploma Léopol­dinum", promulgué en 1703, renouvela les anciens privileges de Buda et, en mérne temps, lui accorda de nouveaux . Le "Diploma" et la patente de l'impératrice Eleonore, édítée en 1711 établi­rent ses Statuts Juridiques pour la période s'étendant a 1848, respectivement á 1873« L'organisme de l'autorité municipale, institué par ces patentes et les ordonnances royales successives et développé, en partié, au cours des lüttes sociales intárieures, prit corps au début du XVIII* siécle et porté, á quelques divergences de prés, les traces caractéristiques des autoritás municipales de l­r é$ö'$tfe && lä-íéodalitév i# depo&ltaäre^riÄc^a!mer:_ I^aütonöMie municipale- -était le e«r l ps des 4le cteurs compose" cies patriciens de la bourgeoisie« 11 lui appartenait d'éllre

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