Baranya. Történelmi közlemények 9-10. évfolyam (1996-1997)

Oldalszamok - 330

de la magyarisation des noms de famille était considéré comme le mouve­ment des juifs. D'entre les campagnes de magyarisation on peut mentionner surtout ceux des villes, des écoles et celui du gouvernement Bánffy. Le phénomène que la plupart des magyarisations se passait dans des villes, s'en rapport que fondamentalement c'était une activité urbaine. Les campagnes de magyarisation des écoles montre la caractéristique de plusieurs étapes et de plusieurs générations de celle-ci, oà les parents conservent leurs noms de famille, mais les enfants les changent déjà. Pendant le dualisme entier d'entre les pouvoirs de l'état seul le gouvernement de Bánffy popularisait la magya­risation. Le trait commun des campagnes diverses de magyarisation est qu'elles se sont toutes épuisées dans peu de temps, à cause des relations nombreuses familiales et à cause de l'absence de l'accord social. Le nom commun de la famille et des parents signifaient une telle force qui empêchait beaucoup de gens de magyariser. L'absence de l'accord social apparaît surtout par la dérision des gens ayant un nom magyarisé. En somme les mouvements de la magyarisation n'ont pu obtenir des succès qu'entre ceux qui étaient déjà arrivés à un certain niveau de l'assimilation. Ferenc TEGZES: La situation de Venseignement serbe et croate au comitat Baranya pendant les premières années 20 Résoudre le problème des nationalités présente un devoir fondamentale­ment nécessaire à tous les états oà plusieurs nationalités vivent ensemble. Ce devoir se rapporte à la domaine politique, culturelle, celle du droit publique et celle de l'enseignement. En réalisant la politique des nationalités, c'est une question importante théorique et pratique si la politique a des intentions de l'assimilation ou celles de l'intégration. Le comitat de Baranya a été soustenu par l'Entente à partir de novembre de 1918 jusqu'au aot. La vie quotidienne était dirigée par la direction serbe militaire et civile. Après être réannexé à la mère-patrie, pendant les premières années vingt l'agent spécialisé aux affaires serbes et croates de la présidence du Conseil a fait des visites sur les territoires libérés. C'est se basant sur ses rapports concernant l'enseignement que l'auteur montre d'une part la situa­tion de l'enseignement des serbes et des croates en présentant les circonstan­ces positives et personnelles. D'autre part il repésente même les efforts du rapporteur en vue de résoudre l'assimilation des nationalités vivant sur les territoires du gouvernement hongrois de cette époque. En ce qui concerne ces efforts „le procédé naturel de la fusion parmi les Hongrois est en bonne voie".

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