Prékopa Ágnes (szerk.): Ars Decorativa 29. (Budapest, 2013)

Hilda HORVÁTH: Le pavillon Bigot-Lavirotte. L’histoire de l’acquisition d’un objet d’art

afin que l’installation architecturale puisse être finalement transportée, gracieusement ou à prix préférentiel, par les lignes ferro­viaires royales hongroises. En fin de compte, il obtint pour le transport du pavillon, un rabais de 50% sur les tarifs en vigueur des chemins de fer19. Dans une lettre datée du 15 janvier 190120, Eugène Radisics informait la société Bigot de l’arrivée intacte des différentes pièces. Le directeur du musée déclarait avec satisfaction à propos des céramiques qu’el­les deviendraient, avec le temps, des pièces capitales pour les collections du musée. En effet, il était déjà convaincu de s’être pro­curé quelques exemplaires remarquables de l’art français de la céramique. A la même période, Radisics, dans une autre corres­pondance, adressait également ses remer­ciements à Delamarre-Didot qui n’avait, certes, pas ménagé ses efforts de persuasion pour que Bigot acceptât de céder son pa­villon au Musée, qui plus est, à des condi­tions si avantageuses. A sa lettre datée du 19 janvier 1901, Bi­got joignait des duplicata, vraisemblable­y Lettre de la firme Bigot à Jenő Radisiscs du 19 janvier 1901 76

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